Notes de Lecture: The Art of Unit Testing

J’ai lu ce livre il y a un an ou deux, mais il est toujours d’actualité et je trouvais important de vous en parler. D’une certaine manière c’est toujours bon de revoir ses bases de temps à autre. Ce livre est en quelque sorte un « must » pour tout développeur, notamment ceux qui font du .Net. Il existe aussi une version inspirée de ce livre chez le même éditeur avec les exemples en Java intitulé « Unit Testing in Java » qui sera publié cette année.

Premièrement, pour bien situer ce livre, ce dernier se concentre surtout sur l’aspect « Test unitaire » et non le TDD (Développement piloté par les tests). Ce dernier y est mentionné un peu, mais l’accent de ce livre n’est pas tout simplement pas sur cet aspect.

L’auteur, Roy Osherove,  nous fait découvrir de manière pédagogique plusieurs notions essentielles lorsque l’on veut progresser dans les tests unitaires, notamment vers des cas plus complexes. Et ce, dans l’environnement de développement .Net, malgré que la plupart des notions peuvent être adaptées pour un autre environnement de développement orienté-objet.

Le TDD avec des cas simples c’est bien beau et facile, mais cela peut se corser assez vite merci. On y voit alors dans ce livre plusieurs trucs, notions et techniques tels que:

  • Les techniques de base
    • Les Stubs
    • Les Mocks
    • Les différents frameworks d’isolation
  • Le code de test
    • L’organisation et la hiérarchie des tests…
    • Les bonnes pratiques pour les tests
  • Processus et conception
    • Intégrer les tests dans l’organisation
    • Travailler avec du « Legacy Code »

J’aime le fait que l’auteur dans les premiers chapitres s’occupe de bien définir les termes essentiels qui seront utilisés tout au long du livre tel que:

  • Test Unitaire
  • Test d’intégration
  • State-based testing / vérification d’état
  • Interaction testing / vérification de l’interaction avec d’autres objets
  • Système sous test
  • La régression
  • C’est quoi du « Legacy Code » ? (en fait c’est du code sans tests unitaires)
  • Refactoring
  • Seams
  • Fake
  • Dynamic Fake

Point que je trouve important et qui est aussi abordé dans ce livre, c’est comment nommer nos méthodes de tests. J’aime bien la formule que l’auteur suggère, soit de nommer en trois parties séparées par le caractère « _ »:

  • Nom de la Méthode
  • État du test
  • Comportement prévu

Ex.: IsValidFileName_ValideFile_ReturnsTrue()

Si vous avez beaucoup de tests dans votre projet, vous allez voir que ce type de nommage aidera le classement et permettra de facilement déduire le test d’après son nom.

Le Pattern AAA est aussi abordé dans le livrer et c’est un de mes préférés. Donc, je vais vous en parler un peu. Il s’agit en fait de faire notre méthode de test en trois « sections » fonctionnelles qui sont les suivantes:

  1. Arrange: On prépare les variables nécessaires et autres préalables.
  2. Act: Action sur l’objet ou la méthode que l’on teste
  3. Assert: On compare le résultat attendu versus celui obtenu.

Exemple:

[Test]
 public void CalculateSalesBonus_VendorWithSalesBonus_BonusMade()
 {
 // Arrange
 int salesNovember = 10000;
 var calculator = new BonusCalculator();

 // Act
 var result = calculator.CheckBonus(salesNovember);

 //Assert
 result.ShouldEqual(100);
 }

Un aspect important quand on établit notre code de test, c’est de commencer par l’assertion (et oui, on commence par la fin !). Cela rend plus clair par la suite la réalisation des étapes d’Arrange et d’Act. Ce conseil me vient de JR Rainsberger que j’ai eu l’occasion de rencontrer au Code Retreat à Québec en 2011.

Personnellement, je trouve que faire des mocks peut parfois être utile, mais il faut faire attention car cela peut nous amener à faire beaucoup de code. J’aime bien dans ces cas appliquer la règle de Pareto, ou celle du 80/20, c’est-à-dire qu’on ne fera pas du code 80% plus gros pour tester un 20% de notre application. Il faut y aller alors de manière pragmatique.

L’auteur parle aussi au chapitre 8 des manières d’introduire les tests unitaires automatisés dans une organisation, encore là, une bonne section du livre. Le facteur humain n’est pas à négliger ici, car le TDD et les tests unitaires, qui introduisent une nouvelle manière de concevoir notre code, peuvent provoquer des bouleversements au passage.

Bref, si vous faites du développement avec .Net ou Java, et que particulièrement vous trouvez que c’est dur de faire des tests unitaires (et vous avez raison, car ce n’est pas une mince tâche), ce livre peut vous aider.

J’ai fait un résumé des idées de ce livre (avec une certaine adaptation) dans le mind map suivant (cliquer pour l’agrandir) :

 

 

 

 

 

 

 

Mes points clefs:

  • C’est important de bien connaître les techniques de base (stub, mock et framework) afin de progresser dans la programmation des tests unitaires
  • Organiser les tests (nomenclature, projets), n’est pas à négliger pour établir un standard dans l’équipe de programmeurs
  • Pour implanter le TDD et les tests unitaires dans une organisation, il faut être prêt. Ex.: répondre aux questions, identifier les champions, gérer avec les « bloqueurs, avoir des buts spécifiques, etc.

 

Références:

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TFS est ouvert aux vieilles technos

Je regardais récemment le scénario d’intégrer du code VB6 dans le gestionnaire de code source Team Foundation Server (TFS) 2008, histoire de faire un premier pas vers une conversion à .NET. C’est en fouinant un peu que j’ai découvert l’existence du Visual Studio Team System 2008 Team Foundation Server MSSCCI Provider

Ce petit provider de Microsoft s’avère très utile si vous avez de vielles applications et que vous voulez tout regrouper sous un même toit, comme avec TFS. On peut ainsi dire un beau bye-bye à Visual SourceSafe.

L’outil permet d’utiliser TFS comme gestionnaire de code source pour des outils de développement un peu vieillot tel que VB6 ou  Visual FoxPro. Il marche même avec PL/SQL après l’ajout d’un petit plug-in:

Du côté de VB6, tout marche très bien et les menus; ils sont pratiquement les même qu’avec Visual Source Safe (VSS):


On peut aussi changer de gestionnaire de code source au besoin grâce au programme suivant qui est installé avec le provider:

Une fois notre option choisie, on verra le bon gestionnaire de code source à la prochaine ouverture de notre outil de développement.

On peut donc ouvrir un projet VB6 sous VSS, changer le gestionnaire de code source et ouvrir une deuxième instance de VB6 qui utilisera TFS.

Points à retenir:

  • L’historique de VSS ne se copie pas dans TFS. À moins de faire une conversion, mais la procédure semble plus complexe qu’une simple copie des fichiers.
  • Le concept de fichiers partagés de VSS n’existe pas dans TFS. Si c’est utilisé, prévoir du temps pour réarranger le code.
  • La recherche dans TFS 2008 ne peut aller jusqu’au contenu des fichiers. On ne peut que chercher les titres des fichiers (!). Je ne sais pas si cette lacune est corrigée dans TFS2010 par contre.

Donc, ne jeter pas VSS aux poubelles trop vite. Il pourrait servir pour des recherches et des consultations de l’historique.

Pourquoi je n’aime pas les générateurs de code ?

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Je n’ai jamais vraiment beaucoup aimé les générateurs de code.

Vous savez, le genre d’outils qui peut vous générer des centaines et parfois même des milliers de lignes de code avec simplement quelques paramètres ?

Dans cet article, je vais discuter des points positifs et négatifs quant à l’utilisation d’outils de générateurs de code. Des exemples de différents générateurs seront aussi décrits.

On mentionne  souvent que ces outils nous font économiser des centaines d’heures et aide à avoir du code plus standard, je pense par contre qu’à moyen et long terme, il peut y avoir certains effets négatifs.

Comme par exemple :

  • Nuit à l’apprentissage: C’est le point le plus important d’après moi. Le simple fait que de ne pas avoir touché à une partie du code, nous rend vulnérable par rapport celle-ci. Aussi, il est important de bien comprendre un système informatique dans son ensemble et non seulement les parties du code qui n’ont pas été générées. Faut aussi savoir que tel générateur ne sera pas disponible dans un autre projet… Exemple: un générateur de code se charge de produire les contrats de services et de données en WCF. Il se charge de bien créer les classes et de mettre les bons « tags » relatifs à WCF. Dans ce cas, on ne peut pas dire que nous avons gagné de l’expérience avec WCF. Si on arrive dans un autre mandat ou projet et que le générateur n’existe pas, il nous faudra approfondir WCF car finalement, on ne le connaît pas vraiment malgré son utilisation dans un précédent projet.
  • Difficultés lors de la recherche d’erreurs : Les générateurs de code produisent en général du code un peu obscur et difficile à lire. Si une erreur se produit dans cette partie du code, la recherche peut s’avérer longue et douloureuse.
  • Pour une simple correction, on a souvent pas le choix d’utiliser le générateur de code: C’est en général non-productif de devoir refaire l’exécution du générateur pour faire un petit changement, comme renommer une méthode par exemple ou changer de type une propriété. Pour ces gestes, c’est tellement plus facile et rapide d’y aller manuellement…

Bien que j’aie déjà utilisé certains de ces outils, je peux avouer qu’ils sont parfois efficaces et, probablement, valent la peine d’être utilisé selon le contexte. Dans certains environnements avec des dizaines de programmeurs, on n’a pas trop le choix de standardiser certaines parties du code malgré les inconvénients. Bref, je crois que l’idéal est d’avoir une bonne balance entre productivité à court terme et l’apprentissage à long-terme.

Voici quelques-unes de mes expériences avec les générateurs de code:

Bonnes:

  • LINQ to SQL: Le code généré à partir de tables SQL Server n’est pas trop gros. C’est certain qu’il n’est pas très beau non plus, mais c’est assez facile de se créer une classe « extended » pour y ajouter des options particulière, comme une chaîne de connexion qui peut changer selon certaines conditions. Mais dans ce cas, le gain se fait surtout par l’utilisation directe de LINQ pour lire et modifier nos classes SQL. Le code que l’on créé ainsi manuellement est beaucoup plus lisible et simple avec LINQ.
  • Resharper: La génération de code dans Resharper se charge surtout de petits bouts de code qui seront intégrés à notre classe. Après cela, on les manipule comme on veut. Voyez ici les exemples .

Négatives:

  • Smart Client Software Factory: Il y a une bonne volonté ici de faire des outils pour générer nos vues, contrôleurs et autres structures nécessaire au pattern MVP-C. Par contre cela en résulte en un nombre assez nombreux d’événements. Lorsqu’il faut faire du débogage, on ne se sait plus trop ou donner de la tête lorsque cela saute d’un événement à l’autre.
  • CodeSmith : J’ai déjà utilisé cet outil pour générer une couche d’accès aux données dans un précédant projet. Je trouvais terrifiant de voir des milliers de lignes de codes produite pour simple une table avec une dizaine de colonne seulement. Par chance que les erreurs ne s’y trouvaient pas souvent. Noter aussi que CodeSmith a d’autres outils que je n’ai pas essayé et qui sont probablement intéressant malgré tout.
  • L’outil « Add Service Reference » de Visual Studio pour WCF: Je n’aime pas cette option qui se fait un peu trop facilement avec un clic droit de la souris. Le gros problème c’est que le fichier de configuration est rempli plein d’options sélectionnés dont plusieurs ne sont pas utile. Aussi, c’est un peu embêtant si on ajoute un deuxième service en référence dans le même projet. J’aime beaucoup mieux la méthode manuelle tel que décrit dans l’article WCF the Manual Way…the Right Way

Et vous, que pensez-vous des générateurs de code ?

Technology Radar 2010: Focus .NET

Clear Radar Screen

Technology Radar 2010: Focus .NET

Je viens de lire le document « Technology Radar » de la firme ThoughWorks et je trouvais intéressant de faire un résumé de cette liste avec le focus .NET. Vous pouvez télécharger le document gratuitement ici:

http://www1.vtrenz.net/imarkownerfiles/ownerassets/1013/Technology%20Radar%20Jan%202010.pdf

Je trouve très intéressante la manière de bâtir le radar dans ce document.

Premièrement on y retrouve quatre grands axes:

  • Techniques
  • Tools
  • Platforms
  • Languages

Ensuite, on divise chaque cercle selon l’intérêt apporté selon l’industrie:

  • Hold
  • Asssess
  • Trial
  • Adopt

Voyons un peu ce qui ressort pour .NET et certains « à côté » selon chaque grand axe:

  • Techniques
    • On parle de l’adoption de « Build Pipelines » et de déploiement continue. On peut donc s’attendre à voir plus fréquent l’utilisation de VSTS ou autres serveurs de builds tel que CC.NET, TeamCity et FinalBuilder. Donc, davantage d’intégration continue, ce qui est très bien selon moi !
    • On mettra aussi à l’essai des pratiques d’architecture, comme le Evolutionary Enteprise Architecture, SOA et le Emergent Design, pour aider l’architecture à s’intégrer avec les approches agiles. Quel en sera l’impact sur nos projets .NET actuels ?
    • Le User-Centered Design demande une collaboration proche entre ceux qui conçoivent l’interface graphique et ceux qui font le développement. Est-ce que des outils comme Microsoft Expression Blend peuvent aider dans l’adoption de cette pratique ?
  • Tools
    • On note ici que ASP.NET MVC est devenu un développement intéressant pour Microsoft et que son adoption devrait bien se faire en générale. Le modèle MVC et le fait que c’est Open Source semble être un move intéressant de la part de Microsoft. On se rapproche ainsi de certains frameworks de Java pour un modèle plus testable que les fameuses web forms.
    • On fera aussi davantage l’essai de cueillette de données et de métriques pour voir l’évolution et la visualisation d’un système informatique. Encore ici, je crois que l’Intégration Continue pourra jouer un rôle important avec cela.
    • Baisse d’utilisation de Subversion et une tendance à aller des outils de gestion de code distribué, comme GitHub.
  • Languages
    • Apparition de langage fonctionnel, tel que le Scala et le F#.
    • La nouvelle version de C#, la 4.0, semble vouloir faire avancer le langage au devant du Java qui tarde à donner de nouvelles fonctionnalités à ses développeurs. D’ailleurs, je ne peux m’empêcher de citer la phrase suivante de l’étude (j’aime beaucoup de C#, ne vous l’ai-je déjà dit ?):

As C# continues to surge ahead, the Java language appears to be moving slowly as the Java community waits for Java 7.

  • Platforms
    • Adoption du « Cloud » on verra si Azure sera de la partie…
    • Fin de la vie de IE6. Pas vraiment de surprises ici. Mais, est-ce que les entreprises feront une transition vers IE8 ou Firefox ou Chrome ?
    • On fait aussi remarquer que IE8 n’est pas totalement conforme aux standards du web.
    • À voir aussi le système d’exploitation Chrome OS pour les netbook.
    • On pourra aussi voir davantage d’application riche pour internet, comme la plateforme Silverlight le permet. Fait intéressant, l’étude mentionne toutefois que le développement web traditionnel apportera davantage de valeur pour les entreprises. Donc à utiliser seulement pour les applications qui nécessitent une meilleure visualisation.

Vous pouvez aussi retrouver d’autres commentaires sur le site InfoQ (ils ont fait un beau tableau pour classer tout cela):

http://www.infoq.com/news/2010/01/ThoughtWorks-Technology-Radar

Et vous, qu’est-ce qui vous branche pour 2010 côté technologie ?

Tendances .NET

Le magazine Redmond Developer News a publié cette semaine un article intéressant sur les technologies à maîtriser afin de survivre à cette marée de nouveautés. Voici le top 8:

  1. Rich Internet Applications (AJAX, Silverlight, …)
  2. SOA and Web Services (WCF)
  3. Data-Driven Development (LINQ)
  4. Dynamic Languages in Managed Code(DLR, Iron Ruby, MVC, …)
  5. Office Development Platform (VSTO)
  6. Mad about Multi-Core (thinking parallel)
  7. Development Testing (Unit Test)
  8. Web Development (VS2008)

Étant un fan du TDD, je suis bien content de voir qu’à la position #7, on mentionne l’importance des tests unitaires.

Pour détails sur tout cela, voir le lien suivant:

http://reddevnews.com/features/article.aspx?editorialsid=1781

Ghost Doc

J’ai découvert l’autre jour un petit utilitaire fort intéressant: Ghost Doc. Il permet de faciliter grandement l’ajout de commentaires "xml" dans le code. Ghost Doc analyse le code à commenter et génère un genre d’esquisse de commentaires et il ne nous reste plus qu’à le finaliser.

Exemple:

Voici une méthode en C# pour aller chercher une liste de répertoire sous un nom de server dans un fichier XML:

public static StringCollection GetDirectoryList(String serverName)
{
StringCollection collDir = new StringCollection();
XmlDocument xmlDoc;
XmlNodeList xmlNodeDirList;
XmlNode xmlNode;

}

Au lieu de faire les "///" traditionnelles, je me positionne sur la méthode à documenter et j’active la nouvelle option venant de GhostDoc avec le menu contextuel (clic droit), "Comment This" :

Et j’obtiens ceci sans rien faire d’autre:

/// <summary>
/// Gets the directory list.
/// </summary>
/// <param name="serverName">Name of the server.</param>
/// <returns></returns>

Je fais quelques petites modifications pour améliorer le tout et voilà:

/// <summary>
/// Used by the console or windows client to get the list of directories to scan
/// for the server name passed in the parameters
/// </summary>
/// <param name="serverName">Name of the server.</param>
/// <returns>
/// Return an array of string representing a list of directory
/// </returns>

 

Autre exemple avec une fonction de type "bool":

public static bool IsExcludeDirExist(string serverName)
{
bool nodeData = IsNodeDataExist(serverName.ToLower(), "ExcludedDirectories");
return nodeData;
}

J’utilise "Comment this" et j’obtient directement ceci:

/// <summary>
/// Determines whether [is exclude dir exist] [the specified server name].
/// </summary>
/// <param name="serverName">Name of the server.</param>
/// <returns>
/// <c>true</c> if [is exclude dir exist] [the specified server name]; otherwise, <c>false</c>.
/// </returns>

Et par la suite, j’y fais quelques modifications:

/// <summary>
/// Determines whether an excluded directory exist for the specified server name.
/// </summary>
/// <param name="serverName">Name of the server.</param>
/// <returns>
/// <c>true</c> if an excluded directory exist for the specified server name; otherwise, <c>false</c>.
/// </returns>

Intéressant, non  ?

Ghost Doc ne fait pas des miracles, mais il rend la création de commentaires XML beaucoup plus facile. Par contre, il est important de bien nommer ses fonctions et méthodes pour que Ghost Doc puisse en faire une bonne analyse. C’est en fait une bonne pratique de toujours s’assurer que les noms de fonctions et méthodes sont toujours significatifs. Pour y arriver, il s’agit simplement de suivre ces trois règles:

  • Utiliser le "PascalCasing" ou le "camelCasing" pour écrire les noms avec plusieurs mots
  • Débuter les noms des méthodes avec un verbe
  • Ne pas utiliser d’abréviation dans les noms

    GhostDoc marche principalement avec le C#, mais je crois qu’il y a quelques fonctionnalités pour VB aussi.

    Pour une simple introduction de GhostDoc, voici un article intéressant:

    http://dotnetslackers.com/articles/vs_addin/Introduction_ghostdoc.aspx

    Et pour le télécharger:

    http://www.roland-weigelt.de/ghostdoc/